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N° 54 du Canard Enchaîné – 11 Juillet 1917

N° 54 du Canard Enchaîné – 11 Juillet 1917

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Georges de La Fouchardière, « Les propos du Bouif »

Au cœur de l’été 1917, le Bouif reprend la parole dans une nouvelle série de Propos. De la Fouchardière installe ainsi son personnage dans une régularité qui en fait désormais une véritable chronique à part entière. Fidèle à son rôle de pilier de comptoir, Bicard disserte, verre en main, sur la marche du monde, jonglant avec des mots de travers et des vérités inattendues.

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CONTE D’APRÈS LA GUERRE : Philémon, Vieux de la Vieille, par Paul Vaillant-Couturier

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (Gratuite)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
Visualiser les illustrations en cliquant sur le nom des auteurs

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.

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Dans ce numéro, le comique repose toujours sur la logique bancale du personnage : il mélange des évidences populaires à des conclusions saugrenues, mais souvent plus justes que les discours officiels. L’effet est double : on rit de son langage maladroit, mais on s’étonne aussi de la clairvoyance qui surgit de ses bévues.

Le Bouif incarne de plus en plus une France qui doute, qui râle, mais qui refuse de se laisser confisquer sa voix. Sa truculence contraste avec les communiqués militaires et les sermons patriotiques : là où l’État parle de gloire et de sacrifice, lui évoque faim, fatigue et soif. La distance comique devient une arme critique.

Avec cette livraison de juillet, de la Fouchardière confirme le rôle central du Bouif : un ivrogne de papier qui, semaine après semaine, traduit en gouaille et en grimaces les colères silencieuses d’un peuple usé par la guerre.


Contravention, dessin de Depaquit