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N° 92 du Canard Enchaîné – 3 Avril 1918

N° 92 du Canard Enchaîné – 3 Avril 1918

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🖋️ Rodolphe Bringer, « Une bonne œuvre »


Une parabole ironique : sous couvert de charité, la presse bourgeoise sert ses propres intérêts. Bringer vise Barrès et les soutiens de la Ligue des Patriotes, tout en égratignant l’hypocrisie du discours social.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (Gratuite)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
Visualiser les illustrations en cliquant sur le nom des auteurs

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.

🖋️ Rodolphe Bringer, « Une bonne œuvre »

Sous un titre en apparence charitable, Bringer livre une parabole corrosive. Une « bonne œuvre » qui n’a de charitable que le nom : c’est en réalité un masque pour des intérêts bourgeois. Les figures visées sont celles de Barrès et de ses amis nationalistes, prompts à invoquer la patrie pour mieux servir leur cause. La chronique ridiculise l’hypocrisie des notables, capables de travestir leurs privilèges en sacrifices. Bringer manie l’ironie avec finesse, mettant à nu la logique d’un arrière qui se pare de vertu pendant que d’autres meurent. Le rire, ici, démonte la charité instrumentalisée.