Expédition de votre Canard enchainé

EXPEDITION SOUS 24H

Envoi soigné de votre Canard enchainé

ENVOI SOIGNÉ

Paiement sécurisé pour l'achat de votre Canard enchainé

PAIEMENTS SÉCURISÉS

Livraison offerte de votre Canard enchainé à partir de 15€ de commande

LIVRAISON OFFERTE À PARTIR DE 15€

Paiement sécurisé pour l'achat de votre Canard enchainé

PAIEMENTS SÉCURISÉS

N° 1202 du Canard Enchaîné – 12 Juillet 1939

N° 1202 du Canard Enchaîné – 12 Juillet 1939

49,00 

En stock

L’article Une nouvelle nuit du 4 août, Le lampiste fait abandon de ses privilèges sur l’autel de la patrie par R. Tréno, publié dans Le Canard enchaîné le 12 juillet 1939, utilise la satire pour commenter les événements politiques de l’époque, notamment la politique intérieure française et la rhétorique égalitaire affichée par le gouvernement Daladier.

Le texte commence par rappeler l’importance historique de la Nuit du 4 août 1789, où les privilèges féodaux furent abolis, et suggère que le gouvernement de 1939 a cherché à recréer cet événement symbolique. Cependant, l’auteur souligne immédiatement l’ironie de la situation : dans une France prétendument égalitaire, trouver des privilégiés à sacrifier semble une tâche ardue. Cette difficulté est exacerbée par les lois sociales et fiscales qui, en théorie, traitent tous les Français sur un pied d’égalité, que ce soit des ouvriers ou des financiers.

La pièce maîtresse de cette satire est l’identification du « lampiste » comme le privilégié à sacrifier. Ce choix illustre l’absurdité de la situation, car un lampiste, représentant typiquement un travailleur ordinaire, est loin d’être un privilégié dans la réalité. Le gouvernement, représenté par Daladier et Reynaud, organise une cérémonie où le lampiste renonce solennellement à ses « privilèges » comme les 40 heures de travail par semaine, les congés payés, et même son droit de vote pour l’année suivante.

L’auteur brosse un tableau hilarant de la cérémonie, mettant en scène des « victimes » des lois sociales, comme des patrons et des financiers qui se plaignent des contraintes imposées par la réglementation du travail. La réaction exagérée de l’audience face au renoncement du lampiste aux privilèges sociaux illustre le sarcasme de Tréno : les vrais bénéficiaires du système sont ceux qui possèdent le pouvoir économique, et non les travailleurs ordinaires.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

En stock

Canard au naturel
Canard en chemise

Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
Visualiser les illustrations en cliquant sur le nom des auteurs

Canard laqué

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.