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N° 1414 du Canard Enchaîné – 26 Novembre 1947

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L’article « Un mariage d’austérité » de Gabriel Macé, est une satire évidente et mordante du mariage récent de la princesse Elizabeth (future reine Elizabeth II) avec Philip Mountbatten, célébré le 20 novembre 1947. En utilisant une fausse cérémonie de mariage, l’auteur commente subtilement sur les contrastes et les réalités sociales de l’époque.

L’article commence par placer le mariage sous le signe de l’austérité, un terme ironique étant donné le faste et la splendeur qui accompagnent les mariages royaux. L’utilisation de cette fausse modestie sert à souligner le décalage entre les déclarations publiques et la réalité des événements royaux, comme le mariage de la princesse Elizabeth, qui, bien que réalisé en période de rationnement d’après-guerre, était tout sauf austère.

Gabriel Macé décrit la mariée avec des références culturelles riches, comme la comparaison de sa robe au « Printemps » de Botticelli, et les costumes en tweed des invités. Ces descriptions, tout en paraissant opulentes, contrastent avec l’idée d’austérité, accentuant ainsi le sarcasme de l’auteur.

La mention du carillon « Westminster » et l’horloge réglée sur l’heure de Greenwich sont des clins d’œil évidents à la royauté britannique, soulignant la nature précieuse et réglementée des cérémonies royales.

Les personnages sont décrits avec une ironie mordante. Le marié, par exemple, utilise un « O.K. » qui trahit son snobisme et son désir de paraître moderne et cosmopolite. La mère de la mariée, avec son commentaire sarcastique à son mari, reflète les tensions et les absurdités de la vie de cour et des attentes sociales.

Le repas de noce « extrêmement simple » avec des éléments comme les sandwiches au jambon d’York et les « Lucky Strike » évoque une fausse simplicité, une apparente frugalité qui cache une réalité bien plus opulente. Le « Désordre de la Jarretière » est une parodie des cérémonies et traditions royales britanniques, soulignant encore plus le contraste entre l’austérité proclamée et la richesse réelle.

La conclusion de l’article, avec le marié suggérant de « vider un glass » et faisant un adieu « bye bye » avant d’être accueilli par un huissier, est un dernier clin d’œil ironique. Elle souligne le décalage entre l’apparence de simplicité et la réalité complexe et souvent hypocrite des mariages royaux et des conventions sociales.

L’article de Gabriel Macé est une critique subtile et humoristique du mariage de la princesse Elizabeth, utilisant le contraste entre l’austérité proclamée et la réalité somptueuse pour commenter sur les contradictions de la société d’après-guerre. À travers une description satirique et des détails ironiques, l’auteur met en lumière les absurdités des conventions sociales et les tensions sous-jacentes des cérémonies royales.

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