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N° 1465 du Canard Enchaîné – 17 Novembre 1948

N° 1465 du Canard Enchaîné – 17 Novembre 1948

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L’article intitulé « Y’a du sapin sur la planche ! » publié dans Le Canard Enchaîné le 17 novembre 1948, utilise un ton ironique pour commenter les rumeurs d’une rencontre possible entre le président américain Harry Truman et le dirigeant soviétique Joseph Staline. L’auteur, Yves Grosrichard, s’amuse à dépeindre la panique et l’inquiétude que ces bruits ont générées parmi ceux qui craignaient qu’une telle rencontre ne mène à une paix compromettante ou à des compromis politiques dangereux, s’écartant ainsi de la voie de la confrontation adoptée après la Seconde Guerre mondiale.

Grosrichard ironise sur le fait que ces rumeurs ont été rapidement démenties, soulageant ainsi ceux qui redoutaient une détente entre les deux superpuissances. Il se moque de la propagande anti-paix, qualifiée de « dangereuse », et critique la peur irrationnelle que certains ont envers toute perspective de paix. Il fait également allusion à des éléments satiriques, comme la mention d’une « presse rouge » qui serait responsable de ces rumeurs alarmistes.

Le texte souligne l’absurdité de la situation où même la possibilité de paix est perçue comme une menace, avec une ironie particulièrement mordante lorsqu’il évoque le rôle supposé du Vatican, dont l’influence est vue comme un facteur de complication supplémentaire. Grosrichard tourne en dérision la paranoïa ambiante, où la préparation à la guerre est valorisée au détriment de toute initiative de paix.

L’article se termine par une réflexion sur l’industrie de l’armement, en particulier en Belgique, où l’on se félicite du succès commercial des armes, renforçant ainsi le cynisme de l’auteur sur le sujet de la guerre et de la paix. En somme, l’article critique la mentalité belliciste de l’époque et se moque de la perception de la paix comme une menace plutôt qu’une opportunité.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
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Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.