N° 1485 du Canard Enchaîné – 6 Avril 1949
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Un danger pour la Presse, L’ACTUALITE ne se renouvelle pas assez – Dans cet article, Roger Salardenne critique avec humour la répétitivité de l’actualité journalistique. Il décrit comment, selon lui, les événements semblent se répéter invariablement chaque semaine, rendant le travail de journaliste monotone et prévisible. Par exemple, chaque samedi, il y a inévitablement un bébé abandonné sous une porte cochère parisienne, et chaque dimanche, un citoyen est accidentellement abattu par un policier distrait. La semaine se poursuit avec des événements tout aussi prévisibles : une attaque de banque le mardi, la disparition d’un enfant le mercredi, et sa découverte le jeudi.
Salardenne se moque de la manière dont les rédacteurs réservent des colonnes pour des événements attendus comme la signature d’un pacte ou des actions de gangs contre des banques. Il critique également le manque de diversité dans les nouvelles, en notant que les mêmes histoires et événements semblent se produire sans fin.
Il conclut de manière satirique que pour attirer l’attention des lecteurs, il faudrait réformer l’actualité elle-même en changeant la nature des événements ou leur mise en scène. Il suggère même aux gangsters et aux parents d’enfants disparus de varier leurs actions pour rendre les nouvelles plus intéressantes.
En résumé, l’article est une satire de la presse et de sa couverture monotone et prévisible de l’actualité, soulignant un manque de diversité et d’originalité dans les reportages journalistiques.
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