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N° 1620 du Canard Enchaîné – 7 Novembre 1951

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L’article intitulé « La République des Babouins – IV. La guerre des Niam-Niams », publié dans Le Canard enchaîné du 7 novembre 1951 et signé par R. Tréno, poursuit la satire politique en explorant cette fois-ci les déboires militaires et impérialistes de la République des Babouins.

L’auteur dépeint une société qui hérite des ambitions coloniales des Pingouins, leurs prédécesseurs. Dans cette fable mordante, les Babouins se lancent dans une guerre contre les Niam-Niams, une population lointaine symbolisant des colonies ou des ennemis extérieurs. Sous couvert d’une prétendue mission civilisatrice, les Babouins justifient leur intervention par des arguments de prestige et de maintien de l’ordre, tout en masquant les vrais enjeux : préserver leurs privilèges et détourner l’attention des problèmes internes.

R. Tréno critique avec finesse l’ineptie de la guerre, notamment les motivations économiques et la propagande qui l’accompagne. La guerre des Niam-Niams s’étire dans le temps, drainant des ressources et suscitant l’incompréhension des Babouins eux-mêmes. Les décisions absurdes et les justifications contradictoires du gouvernement révèlent une satire des stratégies impérialistes et de l’hypocrisie des puissances coloniales. L’exemple du président Machedor, prêt à tout pour éviter un aveu d’échec, illustre la persistance des élites à maintenir leur façade politique, même au détriment de leur population.

L’article se termine sur une solution caricaturale : offrir l’indépendance aux Niam-Niams tout en les chargeant de reconstruire leur pays aux frais des Babouins. Cette conclusion illustre la tendance des puissances coloniales à se dédouaner des responsabilités qu’elles portent dans les désastres qu’elles ont provoqués, tout en imposant leurs conditions.

En résumé, cet épisode de « La République des Babouins » dénonce avec ironie les guerres inutiles et les ambitions impérialistes, tout en pointant les contradictions d’un pouvoir plus préoccupé par son image que par le bien commun. R. Tréno allie satire et allégorie pour critiquer les absurdités des politiques coloniales et militaristes de son époque.

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