N° 1925 du Canard Enchaîné – 11 Septembre 1957
N° 1925 du Canard Enchaîné – 11 Septembre 1957
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11 septembre 1957 : Entre jésuites et poulets, le Canard tire à vue
Un Congrès jésuite… en exclusivité mondiale
Dans un style grandiloquent et parodique, Le Canard enchaîné du 11 septembre 1957 consacre sa une à un prétendu « Congrès des Jésuites ». L’« envoyé spécial du Cafard enchaîné », Tréno y déroule un reportage imaginaire, où la satire ecclésiastique se mêle à la charge contre les institutions religieuses et leurs ambitions temporelles. Le dessin de César en rajoute une couche, en croquant les jésuites façon mousquetaires en soutane.
Chronique d’un monde en convulsions
À l’international, l’hebdo satirique ne manque pas de commenter avec malice une décision du président Eisenhower : le pont aérien entre Washington et Little Rock, en pleine crise de déségrégation raciale. Les dessins illustrent à merveille l’hypocrisie politique de l’époque, notamment avec la scène cocasse de l’entrée des enfants noirs à l’école.
Gaillard et la volaille, Bidasse et les tranchées
La politique intérieure française n’est pas épargnée. Sous le slogan « Mangez du poulet ! », Félix Gaillard est raillé pour ses formules économiques creuses. Et dans un clin d’œil visuel délicieux, un coq finit même sur la table, ficelé à la sauce électorale. En parallèle, les « Carnets de route de l’ami Bidasse » reviennent, poursuivant leur chronique tendre et désabusée du service militaire.
Musée imaginaire et humour céleste
Enfin, en bas de page, la rubrique du « Musée imaginaire du Canard » offre une savoureuse composition : une parodie de la Cène, où les apôtres n’ont d’yeux que pour le « poisson miracle », une sardine censée incarner le choix électoral du moment.
Une une riche en clins d’œil, où le burlesque se mêle à une critique politique piquante et, comme toujours, impitoyablement drôle.
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