L’idéal Gaulliste comme si vous y étiez, par R. Tréno – Tréno offre une critique cinglante de ce qu’il perçoit comme l’idéal gaulliste. Tréno utilise un ton sarcastique et ironique pour dépeindre ce qu’il considère comme les aspects les plus sombres et les plus hypocrites de la politique gaulliste. Il présente l’idéal gaulliste comme un masque pour des intérêts personnels et des manœuvres de pouvoir, plutôt que comme une véritable vision pour la France. Tréno dénonce l’utilisation cynique de l’idéal gaulliste pour justifier des actions telles que la remise en cause des libertés civiles, l’utilisation de la force policière et des services de renseignement pour maintenir le pouvoir, et l’ignorance des principes démocratiques au nom de la grandeur nationale. Il souligne également les contradictions entre les actions du gouvernement gaulliste et les idéaux qu’il prétend défendre, en se concentrant notamment sur la répression des dissidents et le mépris des institutions démocratiques. Enfin, Tréno conclut en critiquant le manque de véritable idéalisme dans la politique gaulliste, dénonçant les motivations égoïstes des acteurs politiques et des élites économiques qui profitent du système en place. Il suggère que l’idéalisme gaulliste n’est qu’un prétexte pour maintenir le statu quo et préserver les privilèges de certains groupes au détriment du bien-être de la société dans son ensemble. Tréno mentionne ainsi des personnalités telles que M. le ministre Frey, dit Roger-la-Houppette, et François Mitterrand. Il critique également les actions de diverses institutions et personnalités, telles que les forces de police, les services de renseignement, et des juristes comme M. René Capitant et M. Foyer. Enfin, il évoque des figures économiques et politiques influentes comme les Rothschild et M. Dassault.