Après nous le paradis…mais avec nous le déluge ! Ce texte de R. Tréno met en lumière les contradictions et les réalités économiques de la France dans les années 1960. Tréno critique le gouvernement de l’époque, notamment pour ses dépenses excessives liées à la force de frappe nucléaire, au détriment d’autres secteurs comme l’éducation et les infrastructures. Il souligne le contraste entre les promesses de prospérité lointaines, telles que celles évoquées pour l’horizon 1985, et la situation actuelle marquée par des difficultés économiques et sociales. Tréno se moque de l’optimisme démesuré du gouvernement et des médias face à ces perspectives lointaines, en soulignant l’absurdité de camoufler les dépenses excessives et les échecs économiques. En utilisant l’analogie d’Anne, ma sœur Anne, qui guette l’horizon pour voir venir quelque chose, Tréno ironise sur l’attente vaine de jours meilleurs alors que la réalité économique actuelle est sombre.En résumé, ce texte critique la gestion économique du gouvernement français dans les années 1960, mettant en lumière les dépenses excessives et les promesses vides de prospérité future, tout en soulignant l’absurdité de camoufler la vérité économique aux citoyens.