N° 2472 du Canard Enchaîné – 6 Mars 1968
N° 2472 du Canard Enchaîné – 6 Mars 1968
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Vive les opposants, ma mère !
Une déclaration d’amour satirique à ceux qui résistent encore
Dans cette chronique jubilatoire, Tréno rend hommage aux derniers opposants, qu’ils soient à Prague, à Alger, à Moscou ou à Paris, et surtout à ceux qui manquent encore à l’appel. Il salue les journalistes en procès, les écrivains interdits, les étudiants matraqués, et rêve d’une France où l’opposition ne serait plus une simple figure rhétorique ou un effet de casting. « Enfin, dix ans après le coup d’Alger, nous allons avoir une véritable opposition en France. » L’ironie fuse contre les girouettes de la Cinquième, « nos bons godillots » et les plateformistes mous, tandis que Mitterrand se profile comme le roi des recalés revenants. Le Canard, « journal de l’opposition », défend mordicus une vérité simple : sans contradicteurs, pas de liberté. Et même si « la République clopine dans des soupçons ministériels », Tréno rappelle que résister, c’est d’abord tenir debout.
L’AQUITAINE, un bassin sans fonds …, par Jérôme Canard –
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