Il n'y a plus d'affaires Aranda  : les coquins à la barre  ..., par René Bourdier

L'article rapporte la récente décision de non-lieu concernant Gabriel Aranda, accusé de vol de documents officiels. Cette décision, rendue par un juge d'instruction après 22 mois d'enquête, divise l'opinion publique. Le journaliste Thierry Maulnier, du Figaro et de l'Académie, remet en question l'éthique professionnelle d'Aranda, soulignant son obligation de garder le secret sur les dossiers dont il avait connaissance. D'autres voix s'élèvent également pour critiquer la divulgation de documents d'État à des médias tels que Le Canard enchaîné... C'est le cas d'Habib-DeIoncle, alors directeur de La Nation, qui dénonce cette pratique en soulignant son incompatibilité avec les principes gaullistes. L'article mentionne également d'autres scandales politiques et financiers, notamment celui impliquant Albin Chalandon, ministre de l'Équipement et du Logement. Il est accusé d'avoir favorisé un groupe financier privé au détriment de l'État dans une affaire immobilière. Léonard, récemment nommé à la tête de la société Cofiroute, est également cité dans cette affaire. Enfin, l'article conclut sur un appel à plus de transparence et d'intégrité dans la vie politique, exprimé notamment par Louis Leprince-Ringuet dans Le Journal du dimanche, et par le docteur Fric, ancien gestionnaire financier de l'U.D.R., qui regrette d'avoir demandé des faveurs à Chalandon.