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N° 1479 du Canard Enchaîné – 23 Février 1949

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L’article « Le soldat français exige de sérieuses garanties concernant la sécurité de la profession », écrit par Henri Rochon et publié dans Le Canard Enchaîné le 23 février 1949, utilise la satire pour critiquer la situation des soldats français, en particulier ceux qui sont réticents à partir en Indochine, un sujet sensible à l’époque.

L’article s’ouvre sur la mention de deux jeunes gardes républicains traduits devant un tribunal militaire pour avoir refusé de partir pour l’Indochine. Leur défense, résumée de manière ironique, repose sur l’idée qu’ils n’ont pas accepté d’être soldats pour se faire tuer. Rochon se moque de cette position en soulignant l’absurdité d’un soldat qui refuse d’affronter le danger, mais la présentation humoristique de l’article reflète une critique plus profonde de l’engagement militaire forcé et de la guerre coloniale française.

Rochon imagine ensuite un contrat entre un soldat fictif, nommé Croquebolle, et le ministre de la Défense, Paul Ramadier, qui transforme le service militaire en un séjour confortable. Le « contrat » garantit au soldat des vêtements de qualité, une nourriture adéquate et l’absence totale de danger. Il décrit même des « champs de tir » transformés en jardins d’agrément et des séances de manœuvres en séances de chaise longue, soulignant l’absurdité d’une armée qui éviterait tout risque.

À travers cette parodie, Rochon critique la contradiction entre l’idéal de service militaire héroïque et la réalité des jeunes hommes contraints de risquer leur vie pour des conflits dont ils ne comprennent pas toujours les enjeux. Il tourne également en dérision les réponses bureaucratiques et les tentatives des autorités de présenter la guerre d’Indochine comme une entreprise justifiée et nécessaire.

En conclusion, l’article de Rochon utilise l’humour et la satire pour aborder les critiques contre la guerre d’Indochine et les exigences irrationnelles imposées aux soldats français. Il met en lumière les sentiments d’absurdité et d’injustice qui entouraient cette période de l’histoire française, tout en dénonçant indirectement la gestion des conflits par le gouvernement.

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