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N° 1505 du Canard Enchaîné – 24 Août 1949

N° 1505 du Canard Enchaîné – 24 Août 1949

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L’article d’Alexandre Breffort intitulé « Le Théâtre Sarah-Bernhardt transformé en annexe de la P. P. », publié dans le Canard Enchaîné du 24 août 1949, est une satire qui tourne en dérision la bureaucratie et la gestion des institutions publiques à Paris.

L’article imagine avec humour que le Théâtre Sarah-Bernhardt, un lieu culturel emblématique, est réaménagé pour servir d’annexe à la Préfecture de Police de Paris. Breffort utilise ce scénario absurde pour critiquer le mélange incongru entre culture et bureaucratie, tout en se moquant des politiques municipales et des priorités des autorités.

Le texte décrit avec ironie comment le théâtre, désormais sous contrôle de la police, est transformé en une sorte de centre administratif avec des vestiaires et des installations destinées à des « non-lieux d’aisance », suivant « les principes de l’hygiène moderne ». Le décor de ce nouveau théâtre inclut même des accessoires liés aux activités policières, comme des « menottes » ou des espaces pour « la police montée », créant un contraste comique entre l’art théâtral et la réalité policière.

Breffort s’amuse également à réinventer le répertoire théâtral avec des pièces satiriques inspirées par cette situation improbable, suggérant des titres tels que « Le Voleur de frites » ou « La Roulotte à tabac », qui combinent les thèmes de la criminalité et du spectacle. Le projet de programmation inclut aussi des œuvres absurdes, telles que « Le bal des détenus blancs » ou « La Grande semelle de Paris », qui semblent parodier les réalités de l’administration pénitentiaire et policière.

L’article se termine par une plaisanterie sur les méthodes d’interrogatoire et de « grilling » (gril de police), insinuant que ces pratiques sont désormais au centre de l’activité culturelle de ce « nouveau » théâtre.

En fusionnant les thèmes de la culture et de la répression policière, Alexandre Breffort propose une satire de la gestion municipale et de la politique sécuritaire. L’article utilise l’absurde et l’ironie pour mettre en lumière le contraste entre le patrimoine culturel et l’influence bureaucratique, tout en critiquant indirectement les autorités parisiennes et leurs priorités. La transformation imaginaire du Théâtre Sarah-Bernhardt en annexe de la Préfecture de Police illustre le talent de Breffort pour tourner en ridicule les politiques de son époque.

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