Expédition de votre Canard enchainé

EXPEDITION SOUS 24H

Envoi soigné de votre Canard enchainé

ENVOI SOIGNÉ

Paiement sécurisé pour l'achat de votre Canard enchainé

PAIEMENTS SÉCURISÉS

Livraison offerte de votre Canard enchainé à partir de 15€ de commande

LIVRAISON OFFERTE À PARTIR DE 15€

Paiement sécurisé pour l'achat de votre Canard enchainé

PAIEMENTS SÉCURISÉS

N° 1627 du Canard Enchaîné – 26 Décembre 1951

N° 1627 du Canard Enchaîné – 26 Décembre 1951

39,00 

En stock

L’article intitulé « Aux cris de ‘Vive Bidault ! L’armée fête son premier millième milliard !« , signé Roger Salardenne et publié dans Le Canard Enchaîné du 26 décembre 1951, est une satire sur l’allocation d’un budget militaire astronomique pour l’année 1952, atteignant mille milliards de francs. L’auteur adopte un ton moqueur et ironique pour souligner l’absurdité de cette somme, tout en mettant en lumière les comportements exagérés et absurdes qu’une telle annonce suscite dans les rangs de l’armée.

Le texte décrit l’euphorie des soldats, à qui cette manne financière semble offrir une opportunité d’abondance sans précédent. Par des dialogues fictifs entre personnages comme Bidasse et Croquebol, Salardenne caricature l’enthousiasme aveugle et les revendications absurdes qui accompagnent cet événement. Par exemple, l’idée que les colonels puissent coudre « dix galons au lieu de cinq » sur leurs uniformes illustre cette démesure.

L’auteur exploite aussi l’anecdote d’une lettre de parents adressée à un soldat, exprimant l’espoir que ce dernier, désormais « naviguant dans l’opulence », leur vienne en aide financièrement. Ce passage, empreint d’humour noir, sert à dénoncer le contraste entre la perception d’une prospérité illusoire et la réalité économique difficile de l’époque.

Avec une plume acérée, Salardenne tourne en ridicule non seulement les dépenses excessives, mais aussi l’aveuglement de l’administration et des militaires face à une telle situation. En toile de fond, l’article pose une critique implicite de la politique de dépenses publiques, notamment en matière militaire, et questionne la légitimité de ces priorités budgétaires dans un contexte de reconstruction d’après-guerre.

Cet article illustre parfaitement la capacité du Canard Enchaîné à mêler humour et critique sociale, tout en incitant ses lecteurs à une réflexion sur les choix économiques et politiques de leur époque.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

En stock

Canard au naturel
Canard en chemise

Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
Visualiser les illustrations en cliquant sur le nom des auteurs

Canard laqué

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.