6-12 FÉVRIER ET LA SUITE…, par Jean Galtier-Boissière – JGB aborde les événements du 6 février, une date marquante de l’histoire politique française. Il met en lumière les diverses interprétations et manipulations qui entourent cet événement. Tout d’abord, il souligne la façon dont certains politiciens et écrivains tentent de réécrire l’histoire en manipulant les faits pour servir leurs intérêts. Par exemple, le colonel de La Roque et d’autres figures politiques tentent de tirer avantage de la confusion qui règne autour du 6 février pour promouvoir leurs propres agendas politiques. Ensuite, le texte met en lumière la confusion et la violence qui ont caractérisé cette journée, avec des manifestations qui ont dégénéré en émeutes meurtrières. Il critique également le gouvernement de l’époque pour son incapacité à contrôler la situation et à prévenir les violences. Par ailleurs, le texte souligne les manipulations de la presse et des médias, qui ont contribué à exacerber les tensions et à diaboliser certains acteurs politiques. Il met en évidence le rôle de certains journaux, tels que Gringoire et L’Écho de Paris, dans la promotion de la thèse du « guet-apens » et la diabolisation de certains groupes politiques. Enfin, le texte met en lumière les divisions au sein de la société française autour de l’interprétation du 6 février. Certains voient cette journée comme une tentative de coup d’État de la part des forces réactionnaires, tandis que d’autres la perçoivent comme une manifestation légitime contre un gouvernement corrompu. Ces divergences d’opinions alimentent des débats politiques passionnés et contribuent à façonner la mémoire collective de cet événement. En somme, le texte souligne la complexité et la confusion qui entourent le 6 février, ainsi que les diverses interprétations politiques et médiatiques qui en découlent.