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N° 1108 du Canard Enchaîné – 22 Septembre 1937

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Sur la Piste de Bruxelles : Je suis un Bicarbonaro ! Par Pierre Châtelain-Tailhade Pierre Châtelain-Tailhade, dans son article, s’attaque avec une verve acerbe à Albert-Charles Morice, reporter au « Journal ». Le texte débute par une remise en question de la crédibilité de Morice, connu pour ses histoires sensationnelles et souvent dénuées de vérité. Morice rend visite à Châtelain-Tailhade sous prétexte d’une enquête sur le mouvement anarchiste belge. Châtelain-Tailhade, bien conscient du caractère peu sérieux de Morice, décide de lui jouer un tour avec la complicité de ses amis bruxellois, en particulier Léo Campion et Alessandro Brefforto.

L’auteur raconte comment ils ont organisé une mise en scène où Morice rencontrerait des « anarchistes redoutables » dans un cabaret appelé « L’Image Notre-Dame ». Ce lieu est en réalité fréquenté par des journalistes et des habitués du coin, bien loin des révolutionnaires que Morice s’attendait à trouver. Morice, crédible dans son rôle de reporter crédule, ne remarque rien d’anormal. Il est présenté à des individus fictifs comme Alessandro Brefforto, décrit avec humour par Châtelain-Tailhade comme un « gros à ses heures supplémentaires ». Les complices, en plein jeu de rôle, évoquent même des plans de destruction grotesques pour tromper Morice. La farce atteint son sommet lorsque Félix, un vieux chroniqueur judiciaire bruxellois, simule une indignation face à la présence d’un profane dans leur soi-disant « repaire ». Ce théâtre finit par convaincre Morice de la véracité de ses découvertes, le poussant à quitter précipitamment les lieux.

Le lendemain, Morice publie son reportage fantaisiste dans « Le Journal », décrivant le « centre anarchiste de Bruxelles » avec des détails erronés et des informations fictives. Châtelain-Tailhade conclut en soulignant l’échec professionnel de Morice, ridiculisant son manque de discernement et son incapacité à vérifier ses sources.

L’article de Pierre Châtelain-Tailhade est une satire mordante du journalisme sensationnaliste représenté par Albert-Charles Morice. En dépeignant une fausse enquête sur l’anarchisme belge, Châtelain-Tailhade démontre l’absurdité et la superficialité des méthodes de Morice, tout en offrant au lecteur un récit divertissant et critique de la manipulation médiatique.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Canard au naturel
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Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

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Canard laqué

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.