N° 113 du Canard Enchaîné – 28 Août 1918
N° 113 du Canard Enchaîné – 28 Août 1918
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Dans les Bégonias
La guerre touche à sa fin, mais le Canard n’abandonne pas son ironie : une caricature florale pour évoquer la lassitude des soldats et l’attente du dénouement. L’humour, même léger, garde une pointe de désespoir.
Nos feuilletons
La rubrique « Nos feuilletons » multiplie les parodies de feuilletons populaires. Les codes du roman à épisodes deviennent outils de satire politique et sociale, confirmant la capacité du Canard à détourner les formes les plus en vogue pour les tourner en dérision.
« Concours d’échos pour L’Intran »
Encore des échos, encore des rires. Ici, les anecdotes compilées jouent sur la frontière entre vraisemblable et invraisemblable : des soldats trop émus, des civils trop patriotes, des scènes trop convenues pour être honnêtes. La répétition est en elle-même une arme satirique, transformant la plainte en un comique de ressassement.
Conscrit, dessin de Lucien Laforge – Un essai, dessin de Raoul Guérin
Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix
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