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N° 1187 du Canard Enchaîné – 29 Mars 1939

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Dans son article Enfin, des bonnes nouvelles ! publié dans Le Canard Enchaîné le 29 mars 1939, R. Tréno utilise un ton résolument ironique pour commenter la situation politique internationale et française à la veille de la Seconde Guerre mondiale. En soulignant les événements avec un humour mordant, il démontre l’absurdité et l’hypocrisie des réactions politiques de l’époque.

L’anecdote de Hitler souffrant du mal de mer est utilisée pour insinuer que même les dictateurs ne sont pas invincibles, en tournant en dérision cette faiblesse et en la présentant comme un signe de détente internationale. Tréno se moque également de l’idée que l’annexion de la Tchécoslovaquie soit la « première faute » de Hitler, soulignant l’inefficacité des puissances européennes à l’arrêter.

Il critique la passivité de Neville Chamberlain en mentionnant la « trêve » de Hitler jusqu’au 20 avril, utilisant cette attente pour montrer l’inaction face à la menace croissante. Le discours de Mussolini, attendu avec anxiété, est décrit comme décevant, et Tréno ironise sur les attentes disproportionnées et le résultat modeste, montrant la tendance à surévaluer les menaces.

La prise de Madrid par Franco est minimisée en la décrivant comme un simple « règlement de comptes entre militaires », réduisant cet événement majeur à une querelle interne. Enfin, l’idée que la dictature en France sous Daladier serait moins terrifiante que sous Hitler est utilisée pour souligner la complaisance et le fatalisme face à la montée de l’autoritarisme.

Tréno critique l’optimisme aveugle et la passivité des dirigeants et du public face à l’escalade des tensions en Europe. En présentant des « bonnes nouvelles » qui sont en réalité des signaux inquiétants enveloppés d’ironie, il cherche à éveiller la conscience de ses lecteurs à la gravité de la situation.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Canard au naturel
Canard en chemise

Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
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Canard laqué

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.