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N° 1234 du Canard Enchaîné – 21 Février 1940

N° 1234 du Canard Enchaîné – 21 Février 1940

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L’article de Jules Rivet intitulé Sur le ‘Tuscaloosa’ – Le Président Roosevelt définit ses buts de pêche, paru dans « Le Canard Enchaîné » le 21 février 1940, est une satire légère et humoristique sur une prétendue partie de pêche du Président Roosevelt.

Rivet commence par décrire l’ambiance autour de cette fameuse partie de pêche à laquelle le Président américain s’apprête à participer sur le bateau Tuscaloosa. Il souligne ironiquement que l’événement est au centre de toutes les conversations. Il mentionne ensuite les préparatifs de Roosevelt, incluant son matériel de pêche composé de cannes sophistiquées, de carpes géographiques (peut-être une allusion à des cartes), de documents de traités de pêche, et même de caviar pour « amadouer la censure ». Rivet joue avec l’idée que Roosevelt utilise la pêche comme une métaphore pour des affaires diplomatiques, ce qui est accentué par la réplique humoristique du président : « Non, je vais à la pêche ! »

L’article poursuit avec une scène où des rumeurs d’une rencontre secrète avec des représentants de la France, de l’Angleterre et de l’Italie à bord du Tuscaloosa sont démenties par Roosevelt de manière catégorique, renforçant l’idée que son objectif principal est réellement la pêche, et non des discussions secrètes.

Rivet insère également un moment comique où une alerte à la torpille sur le bateau ne perturbe pas Roosevelt, qui la considère comme un simple « poisson ». Cette anecdote contribue à l’humour de l’article en contrastant la gravité de la situation avec l’attitude décontractée et déterminée du président à poursuivre sa partie de pêche.

Enfin, Rivet conclut avec une note encore plus humoristique en citant une enquête où une partie des Américains pensent que Roosevelt devrait rencontrer des personnalités aussi variées que Maurice Chevalier, le Dalai Lama, et même le roi des betteraves sucrières.

En résumé, l’article de Rivet utilise habilement la pêche comme métaphore pour explorer de manière satirique les attentes et les réactions entourant les activités publiques et privées du Président Roosevelt à cette époque.

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