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N° 1354 du Canard Enchaîné – 4 Septembre 1946

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L’éditorial « On a assez ri… » publié dans Le Canard Enchaîné le 4 septembre 1946, est une critique acerbe du tripartisme et de la politique française de l’époque. Le texte dépeint une scène politique où les trois grands partis, le M.R.P., les communistes, et les socialistes, sont engagés dans une lutte futile et hypocrite, cherchant à se surpasser les uns les autres en adoptant des positions contradictoires et en jouant des jeux de pouvoir sans prendre de décisions concrètes.

L’auteur commence par souligner l’absurdité et l’inconsistance du tripartisme, où chaque parti tente de se positionner stratégiquement plutôt que de proposer des solutions réelles. Le M.R.P., par exemple, adopte des éléments du programme gaulliste tout en s’opposant à de Gaulle, et les socialistes se radicalisent pour se distinguer des communistes, tandis que les communistes se modèrent pour ne pas effrayer les petits commerçants et propriétaires. Cette gymnastique politique est décrite comme une farce où tout est truqué, les lettres spectaculaires ne sont jamais envoyées et les programmes affichés ne sont pas appliqués.

L’éditorial se moque des partis politiques pour leur obsession des étiquettes et des combinaisons tactiques, plutôt que de se concentrer sur les besoins réels des électeurs. Les citoyens en ont marre des « combines de comité directeur et des astuces de congrès », et souhaitent des réalisations concrètes plutôt que des promesses grandioses mais vides de sens.

Le ton de l’éditorial est sarcastique et critique, soulignant l’hypocrisie et l’inefficacité des politiciens de l’époque. L’auteur conclut en suggérant que ce dont les gens ont vraiment besoin, ce sont des actions concrètes et des résultats tangibles, mais que cela serait évidemment moins amusant pour les politiciens qui préfèrent continuer leur jeu de dupes.

En somme, cet éditorial dénonce la superficialité et l’hypocrisie de la politique française d’après-guerre, appelant à un changement vers une gouvernance plus sincère et orientée vers des résultats concrets.

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Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

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Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

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Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
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