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N° 1410 du Canard Enchaîné – 29 Octobre 1947

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Dans son article « La fin d’une légende – LE GRAND CHARLES SAIT AUSSI RIGOLER » publié le 29 octobre 1947 dans Le Canard Enchaîné, Gabriel Macé révèle une facette plus légère et espiègle du général Charles de Gaulle, jusque-là perçu comme un personnage austère et sérieux.

Macé commence par décrire l’image sévère du général de Gaulle, caractérisée par « son regard d’acier, son mépris de fer, ses sourcils en accent grave, » une représentation qui a contribué à la création de ce qu’il appelle des « mauvaises légendes. » Toutefois, Macé mentionne que le magazine France Dimanche a récemment révélé une autre facette du général, notamment un épisode où de Gaulle, de retour des États-Unis, a plaisanté en imitant les manières américaines en mettant ses pieds sur la table et en s’adressant à sa femme avec un « Come on girl ! »

Intrigué, Le Canard Enchaîné décide de se rendre à Colombey-les-Deux-Églises, la résidence du général. Là, Macé découvre une ambiance joyeuse et détendue, loin de l’image rigide associée à de Gaulle. Le général accueille Macé avec une plaisanterie en l’appelant « Yau-de-Poêle », déclenchant des rires parmi les présents. De Gaulle présente ensuite ses compagnons, incluant Vallon, surnommé « l’homme au couteau entre les dents », connu pour avoir utilisé des gaz lacrymogènes lors d’une réunion publique, une anecdote qui avait beaucoup fait rire.

Macé décrit également une farce où un pétard éclate sous le siège de Mlle de Miribel, la secrétaire du général, qui pousse alors des cris d’orfraie, ce que de Gaulle commente avec humour en la surnommant « la Secrétaire-de-Feu en éruption. »

Le général de Gaulle explique que ces plaisanteries font partie de la préparation de leur « coup de farce » dans une ambiance conviviale. Macé conclut en notant l’esprit de gauloiserie qui règne chez le général, suggérant que cet esprit bien français pourrait influencer les électeurs à soutenir le R.P.F. (Rassemblement du Peuple Français) avec humour en le désignant par « Rire, plaisanterie, farce. »

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
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Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

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Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
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