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N° 1422 du Canard Enchaîné – 21 Janvier 1948

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Dans l’article « Une seule dévaluation qui compte : celle du franc-poireau », R. Tréno ironise sur les déclarations des ministres français concernant la dévaluation du franc. Tréno commence par rappeler qu’il y a peu de temps, les ministres juraient de ne jamais dévaluer le franc, clamant qu’ils veillaient à son salut. Pourtant, la situation a radicalement changé.

Tréno note que le ministre René Mayer, de retour de Londres, annonce triomphalement avoir obtenu l’autorisation de dévaluer le franc, présentée maintenant comme une victoire plutôt qu’une catastrophe. Tréno critique cette volte-face, se demandant pourquoi il a fallu envoyer des représentants en Angleterre et aux États-Unis pour obtenir la permission de faire quelque chose que la France faisait déjà quotidiennement par d’autres moyens.

L’auteur se moque de cette prétendue victoire en soulignant que la véritable dévaluation, celle qui affecte réellement les Français, est la dévaluation quotidienne du « franc-poireau ». Il explique qu’à une époque révolue, un franc-poireau permettait d’acheter un kilo de poireaux. L’année précédente, il fallait 25 francs-poireaux pour un kilo, et aujourd’hui il en faut 60. Il en va de même pour d’autres biens essentiels : le franc-bifteck, le franc-beurre, le franc-tabac, le franc-électricité, et le franc-chemin de fer, tous ayant subi une dévaluation similaire.

Tréno conclut en se moquant des grandes annonces de Mayer sur le franc intérieur et le franc d’exportation, les qualifiant de futiles par rapport à l’impact réel de la dévaluation sur le quotidien des Français. Il invite Mayer à parler du « franc-poireau », soulignant que c’est la véritable mesure de la situation économique du pays.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
Visualiser les illustrations en cliquant sur le nom des auteurs

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.