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N° 1439 du Canard Enchaîné – 19 Mai 1948

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L’article « L’agenda de la princesse » de Jean-Paul Lacroix, publié dans Le Canard Enchaîné du 19 mai 1948, fait référence à la visite officielle bien réelle de la princesse Élisabeth (future reine Élisabeth II) à Paris du 14 au 17 mai 1948. Cet article satirique se moque des coutumes et de la pompe qui accompagnent ce genre de visites officielles, en soulignant le contraste entre l’image idéalisée et le côté prosaïque de ces événements.

L’article commence par un récit exagéré des préparatifs de la princesse, avec une mention ironique de ses « trente malles » et de son entourage, incluant son mari et son « détective ». Dès les premières lignes, le ton est donné : la satire vise à tourner en dérision l’excès de formalités et l’apparat qui entourent ce type de visites. La princesse, malgré sa stature royale, est dépeinte de manière presque burlesque, ce qui permet de minimiser l’aura de grandeur qui accompagne habituellement sa figure.

L’accueil des « sept Parisiens » est décrit comme « inoubliable », ce qui est clairement une hyperbole sarcastique visant à critiquer l’engouement artificiel que ce genre de visites peut susciter. Ce chiffre anecdotique symbolise le désintérêt potentiel de la population pour ce genre d’événements, par opposition à l’importance que les médias et les officiels leur accordent.

L’auteur enchaîne ensuite avec des descriptions cocasses des rencontres entre la princesse et les dignitaires français, tels que M. Dumaine, M. Bidault, et le président Auriol. Ces figures politiques, au lieu d’être présentées avec gravité, sont caricaturées, ce qui reflète une certaine désillusion ou critique de la politique française de l’époque. L’attention portée à des détails futiles, comme la vue sur « le profil de M. Dumaine », renforce l’idée que ces événements sont souvent plus symboliques que réellement significatifs.

Enfin, l’article se termine par une remarque désinvolte sur le retour de la princesse à Londres, résumant la visite comme une simple formalité, avec peu d’impact réel. Ce traitement satirique reflète le sentiment que ces visites, bien qu’officiellement importantes, ne sont souvent que des exercices de relations publiques, déconnectés des réalités politiques ou sociales de l’époque.

En somme, cet article du Canard Enchaîné utilise l’humour et la satire pour critiquer l’excès de formalités et la superficialité des visites diplomatiques, en les dépeignant comme des événements largement déconnectés des préoccupations quotidiennes des citoyens.

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