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N° 1443 du Canard Enchaîné – 16 Juin 1948

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L’article « LE JOURNAL D’UNE FEMME DE CHAMBRE ou : Mirbeau au frigidaire » par Citoyen Cane, est une critique sévère de l’adaptation cinématographique du roman d’Octave Mirbeau par Jean Renoir. Le critique exprime une déception marquée par rapport à l’interprétation hollywoodienne de Renoir, estimant que l’essence du roman a été diluée.

Le critique commence par exprimer une certaine nostalgie pour Octave Mirbeau, un écrivain au talent acéré et provocateur. Il souligne également l’estime pour Jean Renoir, connu pour sa capacité à capturer des aspects sombres et réalistes de la société. Toutefois, Cane constate que Renoir, après avoir passé une décennie en Amérique, semble avoir perdu le contact avec la subtilité et la profondeur de la culture française, et cela se reflète dans son film.

Le choix de Paulette Goddard pour le rôle de la femme de chambre est particulièrement critiqué. Le critique souligne que le personnage de Mirbeau avait un charme canaille et une complexité morale que Goddard, une star hollywoodienne, ne parvient pas à incarner. Cette mauvaise distribution contribue à la transformation de l’atmosphère originale du roman en une version édulcorée et stéréotypée.

L’article note que le film ne réussit pas à capturer la haine et le dégoût omniprésents dans l’œuvre de Mirbeau. Le puritanisme américain semble avoir contraint Renoir, qui n’aborde les vices et les tensions de la famille bourgeoise que de manière superficielle. Les aspects sombres et provocateurs du roman sont traités avec une retenue qui trahit l’intensité originale de l’œuvre.

Malgré ses critiques, Citoyen Cane reconnaît qu’il y a des éclats de génie dans le film. Certaines scènes parviennent à rappeler le talent de Renoir pour créer des images cinématographiques puissantes et émouvantes. Toutefois, ces moments sont rares et ne suffisent pas à sauver le film de son caractère globalement décevant.

En conclusion, Citoyen Cane compare le film à une version réfrigérée de l’œuvre de Mirbeau, manquant de la chaleur et de la vitalité qui faisaient le charme du roman. Cette critique souligne les défis et les risques de l’adaptation littéraire au cinéma, en particulier lorsque des différences culturelles et stylistiques sont en jeu.

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