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N° 1458 du Canard Enchaîné – 29 Septembre 1948

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Nos soldats ne sont pas des bourreaux…NI DES ASSASSINS ! – Dans cet article publié le 29 septembre 1948 dans « Le Canard enchaîné », R. Tréno aborde le sujet sensible de l’exécution des condamnés par les soldats. Il commence par saluer l’initiative de M. Vergnolle, ancien président du conseil municipal de Paris, qui a exprimé son désir de voir les soldats de deuxième classe exempts de participer aux pelotons d’exécution, affirmant avec force que « nos soldats ne sont pas des bourreaux ».

L’article poursuit en mentionnant la réaction positive de Me de Moro-Giafferi, qui a proposé une loi à l’Assemblée stipulant que les soldats du contingent ne devraient jamais être chargés de l’exécution des condamnés à mort. Tréno applaudit cette initiative, soulignant l’importance de ne pas transformer les soldats en bourreaux.

Cependant, il va plus loin dans sa réflexion en évoquant la position difficile des soldats, non seulement en tant que bourreaux mais aussi en tant que potentiels fusillés. Il rappelle l’exemple de Vingré durant la Première Guerre mondiale pour illustrer la cruauté des exécutions sommaires et propose que les soldats ne doivent ni exécuter ni être exécutés.

L’auteur fait ensuite un parallèle avec le livre d’un ancien aviateur américain qui a participé au largage des bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. Cet aviateur, hanté par les conséquences de ses actions, exprime un profond regret et un sentiment de culpabilité, renforçant l’idée que les soldats ne devraient pas être obligés de se servir d’armes meurtrières.

Tréno conclut en suggérant que cette proposition de loi soit élargie et déposée non seulement à l’Assemblée nationale française, mais également sur le bureau de l’ONU, afin d’interdire l’usage d’armes meurtrières par les soldats dans le monde entier. L’article se termine sur une note sceptique concernant l’efficacité et l’existence réelle de l’ONU dans la mise en œuvre de telles propositions.

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