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N° 1489 du Canard Enchaîné – 4 Mai 1949

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Les organisateurs de la prochaine der des ders entendent choisir leurs adversaires – Dans cet article, Roger Salardenne utilise l’humour et la satire pour commenter la situation des boxeurs et des dirigeants sportifs, en les comparant de manière ironique aux dirigeants politiques internationaux. L’article commence par noter que les boxeurs, à l’instar des « champions de boxe », semblent désormais vouloir choisir leurs adversaires pour des raisons stratégiques ou par crainte de perdre.

Il cite plusieurs exemples de boxeurs célèbres qui refusent de combattre leurs challengers habituels : Tony Zale ne réclame pas sa revanche contre Marcel Cerdan, et Steve Belloise refuse de combattre Laurent Dauthuille malgré un contrat signé. Cette situation provoque la frustration des promoteurs de boxe comme Gilbert Bénham, qui se moque de la possibilité de matchs improbables, tels que Belloise affrontant Georges Carpentier ou d’autres champions du passé.

Salardenne élargit ensuite son ironie aux relations internationales en suggérant que les dirigeants mondiaux pourraient adopter la même stratégie que les boxeurs. Il imagine des dirigeants comme Staline et Truman se comportant comme des « matchmakers » de boxe, choisissant soigneusement leurs « adversaires » pour les futures confrontations politiques. Staline, par exemple, déclare qu’il n’y aura pas de « match » entre l’URSS et les États-Unis, mais qu’il serait prêt à organiser un combat avec une petite nation comme Andorre.

L’article se termine en ridiculisant cette idée de choisir ses adversaires pour éviter les confrontations sérieuses, mettant en lumière le manque de courage et de fair-play, tant chez les boxeurs que chez les dirigeants politiques.

En somme, cet article utilise le sport de la boxe comme métaphore pour critiquer la lâcheté perçue et les manœuvres stratégiques de certains dirigeants, offrant un commentaire humoristique sur la politique internationale de l’époque.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
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Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.