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N° 1575 du Canard Enchaîné – 27 Décembre 1950

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L’article intitulé « Ce que sera 1951 », publié dans Le Canard Enchaîné du 27 décembre 1950, se présente comme une parodie humoristique des prédictions pour la nouvelle année. Roger Salardenne, dans un ton léger et ironique, utilise la figure fictive du « fakir Denn’ Salhar » pour annoncer des événements improbables et absurdes qui, pourtant, reflètent des préoccupations bien réelles.

Le ton de l’article est immédiatement donné par l’attitude désinvolte du « fakir » qui hésite entre parler de 1951 ou 1952, signalant d’emblée que ces prédictions doivent être prises avec humour. Il entre en « transe » après une cérémonie farfelue où il utilise des ingrédients absurdes, comme du « spiténoum ananana », accentuant le caractère burlesque de cette scène.

Les prévisions qui suivent sont tout aussi délirantes, même si elles évoquent des enjeux sérieux de l’époque. Le conflit en Corée, par exemple, est traité avec humour : « on se battra en Corée que ça ne m’étonnerait pas outre mesure », et le fakir imagine un échange absurde où l’ONU propose de remplacer le 38e parallèle par le méridien de Greenwich pour apaiser les tensions. Il tourne en dérision les négociations internationales, anticipant une réponse « niet » de Staline et une intervention poétique avec la commande d’une colombe à Picasso et un poème à Aragon.

Salardenne continue en parodiant les prévisions politiques et sociales de 1951, imaginant des changements de gouvernement successifs, des taxes toujours plus incongrues, et des inventions médicales absurdes. L’auteur accentue l’absurdité du monde en énumérant des catastrophes improbables, comme des tremblements de terre et des feux de cheminée à la Jonquière, tout en glissant des références culturelles à des auteurs comme Sacha Guitry et Montherlant.

Le ton humoristique et légèrement fataliste est scellé par la fuite « épouvantée » à la fin, ainsi que par le cri final du fakir : « bonne année quand même ! » Ce texte satirique se moque des prédictions sérieuses et des attentes sociales, en utilisant le registre du burlesque pour peindre un tableau absurde et exagéré de l’année à venir.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

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Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
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