N° 1577 du Canard Enchaîné – 10 Janvier 1951
N° 1577 du Canard Enchaîné – 10 Janvier 1951
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L’article intitulé « Nanar et métier ou le calembourvil »
publié le 10 janvier 1951, fait une critique humoristique de la prestation de Bourvil dans l’opérette « M’sieur Nanar » au théâtre de l’Étoile.
Les Deux Jumelles se moque affectueusement du personnage de Bourvil, qu’il décrit comme un homme au « cheveu terne, la mèche rare » et au sourire naïf, « comme s’il débarquait de Fontaine-le-Dun ».
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Cette description de Bourvil joue sur son image de simplicité et de bonhomie qui le caractérise. L'article fait aussi référence à son succès inattendu, l'associant à la chance plus qu'au talent.
Dans une anecdote, l'auteur relate un moment comique de l'opérette où Bourvil lâche un calembour "épais", à propos du Moulin de la Galette, ce qui déclenche les rires, non pas à cause du calembour lui-même, mais parce que Bourvil, avec son sens naturel de la comédie, éclate lui-même de rire, entraînant la salle avec lui.
L'article conclut en affirmant que Bourvil est un comédien "plein de malice", malgré des répliques parfois discutables, et que son talent réside dans sa capacité à faire rire tout le monde, même avec les plaisanteries les plus simples.
Dessin de Pol Ferjac






