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N° 1617 du Canard Enchaîné – 17 Octobre 1951

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L’article intitulé « La République des Babouins », signé par R. Tréno et publié dans Le Canard enchaîné du 17 octobre 1951, est une satire politique mordante et imagée, dans laquelle l’auteur détourne des concepts de zoologie pour décrire les dérives et absurdités du paysage politique de son époque.

R. Tréno commence par établir un parallèle entre les Pingouins et les Babouins pour dénoncer la transformation progressive et la dégradation de valeurs fondamentales telles que la liberté. Les « Pingouins », symbolisant une société opprimée mais digne, sont remplacés par les « Babouins », caricatures d’une humanité qui renonce à ses idéaux et adopte des comportements grossiers et irrationnels. Cette métaphore souligne l’idée que la société s’éloigne de ses principes pour sombrer dans un chaos apparent.

L’auteur évoque les « trois papes » — figures représentant les grands blocs idéologiques ou pouvoirs de l’époque — qui se disputent l’influence dans cette nouvelle République des Babouins. Ces allusions, probablement dirigées vers les puissances mondiales de la Guerre froide (Moscou, Rome et d’autres allégories de pouvoirs religieux ou politiques), mettent en lumière l’hypocrisie et les luttes intestines pour le contrôle.

À travers l’exemple de cette « République des Babouins », R. Tréno critique la rigidité et l’absurdité des institutions qui, selon lui, perpétuent l’inefficacité et l’injustice sociale. L’auteur mêle habilement humour, ironie et critique pour souligner les contradictions de la politique nationale et internationale.

Avec son ton mordant et son écriture métaphorique, l’article de Tréno incarne parfaitement l’esprit du Canard enchaîné. Les dessins humoristiques accompagnant le texte renforcent la portée de ses propos, offrant une vision à la fois grotesque et percutante du sujet.

« La République des Babouins » est un exemple typique de l’irrévérence satirique du Canard enchaîné. En utilisant l’humour pour aborder des thèmes sérieux, R. Tréno invite le lecteur à réfléchir sur les transformations politiques et sociales, tout en dénonçant avec finesse l’aveuglement des élites et l’apathie des masses.

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Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

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