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N° 1678 du Canard Enchaîné – 17 Décembre 1952

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Faut-il brûler les Nord-Africains publié dans Le Canard enchaîné du 17 décembre 1952 – L’article de R. Tréno se présente comme une satire grinçante, visant à dénoncer les discours colonialistes et les préjugés raciaux omniprésents en Afrique du Nord dans les années 1950. Avec un titre volontairement provocateur, il interroge l’absurdité et l’injustice des relations entre les Français et les peuples colonisés, en employant un humour noir et acerbe.

Tréno évoque les réactions face aux revendications des populations nord-africaines pour leur indépendance, en ironisant sur la supposée « cohabitation pacifique » prônée par certains. Il se moque des solutions absurdes envisagées pour réprimer les mouvements indépendantistes, comme l’idée grotesque d’envoyer des « Hautes et Basses Cloques » pour résoudre la situation. À travers une série de caricatures, il critique également les figures françaises influentes en Afrique du Nord, telles que Camille Aymard, qu’il associe à des appels à la violence.

Le texte fustige les attitudes paternalistes et racistes des colons, notamment celles qui justifient la répression brutale des manifestants algériens. L’auteur souligne l’hypocrisie des politiques coloniales et ridiculise les prétextes avancés pour maintenir l’ordre. Il conclut en dénonçant l’incapacité des autorités françaises à reconnaître les droits des peuples colonisés, tout en exposant l’inhumanité de leurs méthodes.

L’article se veut une critique acerbe et sans concession des pratiques coloniales, mais il utilise un langage et un ton volontairement choquants pour mettre en lumière les travers de l’époque. Tréno pousse l’ironie à son paroxysme pour souligner l’absurdité des idées reçues et des politiques oppressives, laissant au lecteur le soin de réfléchir aux implications morales et humaines de ces discours.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Canard au naturel
Canard en chemise

Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
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Canard laqué

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.