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N° 1679 du Canard Enchaîné – 24 Décembre 1952

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Le gouvernement est mort, vive le gouvernement !

Et voici ce qu’en pense le « Canard »
(éditorial publié dans Le Canard enchaîné du 24 décembre 1952)

Dans cet éditorial incisif et ironique, Le Canard enchaîné s’attaque à la chute et au remplacement du gouvernement d’Antoine Pinay, marquant la transition politique avec son style caractéristique de dérision. Tout en rappelant que François Mauriac, dans une récente interview, avait souligné l’importance pour un grand journal de s’aligner sur les orientations gouvernementales, le Canard ironise sur la difficulté pour un hebdomadaire d’accompagner ces changements, contrairement à un quotidien comme Le Figaro.

Le texte débute par une analyse moqueuse de la chute de Pinay, qualifiée de « mauvais coup perpétré dans l’ombre par des politiciens dévorés d’ambition ». L’auteur affirme que bien qu’il soit simple de renverser un président du Conseil, il est autrement plus ardu de le remplacer par une figure de la même stature. Pinay est qualifié d’ »irremplaçable », une affirmation teintée d’une ironie mordante, puisqu’elle souligne le vide politique laissé par son départ.

L’article enchaîne avec une critique des successeurs potentiels, énumérant quelques noms – Bidault, Pleven, Teitgen, Queuille – dans un ton clairement moqueur, révélant l’absence de confiance du Canard dans la classe politique de l’époque. Tout en égratignant les manœuvres politiciennes, il prend soin de souligner que la France, épuisée par des mois de paralysie économique, mérite un « homme nouveau » pour diriger le pays.

En conclusion, le journal clame sa foi dans l’avenir tout en laissant une note caustique : la politique française semble être un théâtre où rien ne change fondamentalement, et où le prochain dirigeant devra se confronter à des défis similaires. Cette double posture – une critique cynique doublée d’une lueur d’espoir – caractérise bien le ton de l’éditorial.

Un « Oscar » pour Ernest, par René Fallet à propos de la sortie de Le vieil homme et la mer d’Ernest Hemingway –

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