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N° 1886 du Canard Enchaîné – 12 Décembre 1956

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« L’Humanité » entre guillemets par R. Tréno (Le Canard enchaîné, 12 décembre 1956) – Dans cet article, R. Tréno se livre à une charge virulente contre L’Humanité, organe du Parti communiste français, à l’aune des événements qui secouent la Hongrie après l’intervention armée soviétique. À travers un ton acerbe et indigné, il dénonce les contradictions flagrantes entre les idéaux proclamés par L’Humanité et la réalité de son soutien à une répression sanglante en Hongrie.

Le texte commence par rappeler que ce journal, autrefois fondé par Jean Jaurès, a évolué en un éloge constant des forces répressives, des tribunaux militaires et des bourreaux. Tréno ne mâche pas ses mots en affirmant que L’Humanité crache, comme les Versaillais après la Commune de Paris, sur les cadavres d’une « nouvelle Semaine sanglante » — une référence directe aux insurgés hongrois massacrés par les troupes soviétiques.

L’auteur oppose l’attitude actuelle du journal communiste qui applaudit la répression en Hongrie, à ses positions passées contre le colonialisme en Algérie ou en Égypte. Tréno fustige cette incohérence en s’attaquant à la rhétorique de L’Humanité, qu’il juge hypocrite et dénuée d’humanité véritable. Les félicitations adressées aux « flics et bourreaux » soviétiques deviennent pour lui l’illustration d’une soumission idéologique au Kremlin.

L’angle du pamphlet prend une tournure encore plus cinglante lorsque Tréno interpelle les intellectuels communistes français qui, à ses yeux, oscillent entre malaise et justification : « Que veulent-ils ? Que la révolution hongroise meure sans bruit ? » Les « hésitations » de certains, incarnées ironiquement par Yves Montand, sont tournées en dérision, tandis que les « durs » comme Thorez et ses semblables sont peints en défenseurs acharnés d’un régime répressif.

Tréno termine sur une condamnation cinglante, exhortant ceux qui excusent la répression soviétique à aller eux-mêmes rejoindre la police de Budapest, avant de conclure par un cinglant « Fermez-la, voulez-vous ? ».

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