N° 1927 du Canard Enchaîné – 25 Septembre 1957
N° 1927 du Canard Enchaîné – 25 Septembre 1957
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Danse avec la loi-cadre : un Canard qui bastonne les faux accords
Fin de la guerre d’Algérie ? Mon œil, dit le Canard
Dans son édition du 25 septembre 1957, Le Canard enchaîné ironise férocement sur l’annonce précipitée d’une « fin de la guerre d’Algérie » après l’adoption de la loi-cadre. À travers dessins et calembours bien sentis, le journal dénonce une opération de communication politique, plus tournée vers l’opinion métropolitaine que vers la réalité du terrain.
Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix
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Photoreportage, grippe asiatique et République au rayon BD
La une adopte un format très visuel : photographies, photomontages et dessins s’enchaînent, dans une composition insolite. Une section « photo-reportage Canard » s’ouvre même pour brocarder, façon muséum burlesque, les « objets politiques non identifiés » : un poulet, un masque tribal et… Félix Gaillard en cuisinier de la République. Même la grippe asiatique a droit à son traitement façon gag morbide.
Les M.R.P. et la morale sous cloche
L’article « Les M.R.P... respectueux » moque les contorsions législatives du Mouvement républicain populaire, prompt à brandir les grands principes quand il s’agit de morale sexuelle, tout en cautionnant les petits arrangements politiciens. On y retrouve les clins d’œil habituels du Canard à ses lecteurs familiers des travestissements rhétoriques de la IVe République.
Mademoiselle Q-terreuse, le retour
Enfin, le personnage fictif de « Mademoiselle Q-terreuse » revient, dans un dessin signé Kb² : fusil au dos, coq en laisse, tracteur en ruine – symbole grinçant d’une République qui perd ses repères tout en prétendant restaurer l’ordre. Un croquis au vitriol qui clôt cette une où humour rime avec lucidité politique.





