N° 1941 du Canard Enchaîné – 1 Janvier 1958
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Au gui l’hareng neuf !
Le Canard du Nouvel An flingue l’année passée… et l’année à venir
Pour débuter 1958, Le Canard enchaîné ne se contente pas de souhaiter la bonne année : il l’assaisonne. Dans un numéro spécial daté du 1er janvier, la Une s’ouvre sur une grande revue satirique intitulée « Au gui l’hareng neuf ! », pastiche de cérémonie des vœux, où l’austérité, la Constitution et les “Jules” de Matignon se disputent la palme du ridicule.
Un bestiaire ministériel et des fuites bien huilées
La rédaction, réunie au grand complet (R. Bacri, A. Breffort, R. Buzelin, J.-P. Lacroix, G. Macé, Ange Rétif, R. Tréno…), signe une suite de tableaux hilarants : entre une scène de fuite confidentielle façon vaudeville, une allégorie « 195S » où l’année est absorbée par la lessiveuse du système, et une galerie de portraits ministériels en costumes de comédie (Dom Juan, l’Avare, Tartuffe…), l’humour est ravageur.
Étrennes au vitriol pour 1958
Le dessin de couverture affiche le défilé grinçant des mois de l’année en sarabande grotesque, tandis que les chroniqueurs prennent de l’avance sur les promesses non tenues, les scandales attendus et les discours creux. Derrière les calembours, c’est déjà une satire de la Cinquième République naissante qui se profile.
Un premier de l’an qui, sous ses fanfreluches, n’a rien de décoratif.
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