Complot partout… par R. Tréno

Il exprime un mécontentement face à plusieurs membres du gouvernement français, notamment Marcellin, Faure, Capitant et Le Theule, pour leurs actions répressives et leurs manœuvres politiques. Il critique Marcellin pour son rôle dans la répression des mouvements étudiants et des migrants, ainsi que pour son discours sur un prétendu complot marxiste lors des événements de mai 1968. Tréno démonte cette théorie en soulignant les problèmes sociaux préexistants, tels que le chômage, qui ont alimenté le mécontentement populaire. Il raille également Faure pour sa réforme universitaire, qu’il perçoit comme une tentative de calmer les esprits tout en maintenant le contrôle sur la situation. De même, Capitant est critiqué pour son manque de réelle réforme judiciaire, alors que des étudiants sont détenus pour des motifs politiques et que la prison préventive est abusivement prolongée. Tréno  se moque également de Le Theule pour avoir initialement donné espoir aux grévistes de l’O.R.T.F. avant de finalement les licencier, soulignant ainsi l’hypocrisie du gouvernement dans ses actions envers les médias. Enfin, il ridiculise la réponse de Le Theule à une question sur les licenciements à l’O.R.T.F., soulignant l’absurdité de la justification gouvernementale. Dans l’ensemble, il dénonce l’hypocrisie et l’oppression du gouvernement français, mettant en lumière les contradictions entre les discours officiels et les actions répressives menées contre les mouvements sociaux et les médias indépendants.