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N° 2513 du Canard Enchaîné – 25 Décembre 1968

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Le 25 décembre 1968, André Ribaud publiait dans Le Canard enchaîné un bijou de satire intitulé « Des petits pois chez soi ». En pleine période de fêtes, il prenait pour cible un « Roi » fictif, à peine voilé, incarnant les travers d’un pouvoir déconnecté, oscillant entre solennité pompeuse et décisions absurdes.

Avec un humour acerbe, l’article décrit ce « Roi », friand de petites phrases anodines mais grandiloquentes, proclamant : « Messieurs, on a toujours besoin d’un ministre chez soi. » Derrière ce trait d’esprit se cache une critique fine des priorités souvent futiles des élites, dans une France qui, en 1968, émergeait tout juste du tumulte de Mai.

Ribaud dépeint aussi une cour peuplée de figures caricaturales, comme le ministre des Bâtiments, alias « prince consort Murat », et le marquis Mouve de Curville, maître des harangues vides. Ces portraits, à la fois hilarants et piquants, illustrent l’hypocrisie et la théâtralité d’une classe dirigeante bien éloignée des préoccupations du peuple.

Loin de s’arrêter à la satire, l’article bascule dans une méditation sur la solitude du pouvoir. Retiré à Colombey, ce « Roi » fictif médite sur l’année écoulée, dans un mélange de mélancolie et de ridicule. Une scène qui résonne comme un écho à l’Histoire : le désenchantement post-1968 et les illusions perdues d’un monde en quête de renouveau.

Aujourd’hui, cette chronique reste une pépite d’ironie et de clairvoyance. En quelques lignes, André Ribaud capturait l’essence même de l’esprit du Canard enchaîné : rire pour mieux réfléchir.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Canard au naturel
Canard en chemise

Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
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Canard laqué

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.