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N° 1158 du Canard Enchaîné – 7 Septembre 1938

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L’article Alors, on remet ça ? de Pierre Bénard, publié dans Le Canard enchaîné le 7 septembre 1938, est une critique acerbe de la politique internationale et des dirigeants français de l’époque. Bénard utilise un ton sarcastique pour exprimer son indignation face aux actions des dirigeants qui, selon lui, sont responsables de la montée des tensions en Europe.

Bénard commence en évoquant le rappel des réservistes et la mobilisation, soulignant que cela jette « tout de même un froid » malgré les assurances du gouvernement que cela ne devrait pas inquiéter l’opinion publique. Il critique ensuite les politiciens et « patriotes » qui, selon lui, n’ont pas réussi à maintenir la paix depuis la Première Guerre mondiale. Il les accuse d’avoir créé et encouragé des dictateurs comme Hitler et Mussolini par leurs actions et leur complaisance.

Il rappelle l’occasion manquée de maintenir la paix lorsque Mussolini a envahi l’Éthiopie, notant que les nations réunies à Genève avaient désigné l’agresseur mais que les dirigeants français avaient préféré sauver Mussolini au lieu de soutenir des sanctions. Bénard critique également l’attitude des dirigeants français face à l’invasion de l’Espagne républicaine par Hitler et Mussolini, les accusant de les avoir encouragés indirectement.

En conclusion, Bénard remet en question la logique derrière l’engagement dans un nouveau conflit, soulignant que les Sudètes ont exprimé leur désir d’être Allemands et que cela ne devrait pas justifier une guerre mondiale. Il appelle à trouver une solution pacifique pour satisfaire cette demande, même si cela signifie permettre une « sottise ».

L’article est une dénonciation cinglante de la politique internationale de l’époque et un appel à la réflexion sur les véritables motivations derrière les décisions de guerre. Bénard utilise l’humour noir et le sarcasme pour mettre en lumière l’hypocrisie et l’inefficacité des dirigeants politiques, tout en plaidant pour la paix et la compréhension.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Canard au naturel
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Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

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Canard laqué

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.