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N° 1104 du Canard Enchaîné – 25 Août 1937

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M. Georges Bonnet a eu des vacances chargées…pour le contribuable – Dans cet article du 25 août 1937, Pierre Bénard utilise une fois de plus son style satirique caractéristique pour critiquer le ministre des Finances, Georges Bonnet, à travers la description de ses vacances. Bénard juxtapose les activités de loisir de Bonnet avec les lourdes responsabilités financières auxquelles il doit faire face, en soulignant l’écart entre la légèreté de ses plaisirs et la gravité de ses devoirs. Bénard commence par mentionner que Georges Bonnet a passé des vacances studieuses à préparer le budget, soulignant que ce travail n’a pas empêché le ministre de profiter de ses loisirs. Il souligne ironiquement que « car il n’est pas de bon travail sans joie », ce qui laisse entendre que Bonnet a su bien équilibrer le plaisir et le travail, peut-être au détriment de son devoir de ministre.

Le ministre, décrit comme un joueur passionné de belote et d’écarté, semble ne jamais oublier ses responsabilités financières même en jouant. Bénard utilise cette image pour souligner les augmentations de taxes, comme lorsque Bonnet, après avoir gagné à la belote, ajoute « et dix pour cent de der », rappelant les augmentations de taxes décidées « comme en se jouant ».

Bonnet est aussi présenté comme un amateur de sports, ayant passé du temps à Dinard, intéressé par le « planking » et surtout passionné par le golf. Bénard utilise l’image du golf pour faire une analogie avec les responsabilités budgétaires de Bonnet : « Il fait le parcours de 26 trous comme si c’était ceux du budget lui-même ». Cette analogie souligne la légèreté avec laquelle Bonnet semble aborder des tâches qui devraient être lourdes de conséquences pour le contribuable.

L’image du caddy, ployant sous le poids des cannes de Bonnet, est particulièrement poignante. Bénard décrit le caddy comme « léger comme un portefeuille de contribuable », ce qui renforce l’idée que les contribuables sont ceux qui supportent le fardeau des décisions budgétaires de Bonnet. Cette image culmine avec le caddy exténué, métaphore évidente des citoyens écrasés par les taxes et les impôts, tandis que Bonnet, indifférent, ne se retourne pas pour remarquer la souffrance causée par ses décisions.

Avec son style mordant et ironique, Pierre Bénard critique ouvertement la déconnexion apparente entre les plaisirs personnels de Georges Bonnet et les réalités économiques pesant sur les contribuables français. Il dépeint un ministre des Finances qui, tout en étant compétent et efficace dans ses loisirs, semble insensible à l’impact de ses politiques sur les citoyens.

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