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N° 1327 du Canard Enchaîné – 27 Février 1946

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La rengaine du bla-bla-bla, par Pierre Bénard. C’est lui qui dans ce numéro lança et popularisa l’expression « bla-bla-bla »…

L’article satirique « LA RENGAINE du blablabla » par Pierre Bénard, paru dans Le Canard Enchaîné le 27 février 1946, critique de manière ironique et sarcastique la vacuité des discours politiques et diplomatiques de l’époque. Le titre même de l’article, « LA RENGAINE du blablabla », annonce d’emblée son propos : dénoncer les discours vides de sens et les promesses non tenues des dirigeants politiques.

Pierre Bénard commence par référencer l’avis de son ami Paul Gordeaux, un critique connu, qui rejette les reportages remplis de « blablabla » plus que d’informations pertinentes. Cette introduction pose le ton de l’article, où l’auteur utilise l’expression « blablabla » de manière répétée pour souligner l’inefficacité des discours officiels.

L’article ridiculise les politiques du ministère du Ravitaillement, notamment en critiquant leur manque d’action concrète pour résoudre les problèmes réels comme le marché noir. Il tourne en dérision les réductions de crédits militaires qui se réduisent elles-mêmes progressivement, soulignant l’incohérence et l’inefficacité des décisions politiques.

Bénard élargit sa critique aux affaires internationales, se moquant des protestations diplomatiques stériles à l’ONU qui se concluent souvent par des accords insignifiants et des déclarations grandiloquentes mais vides.

En conclusion, l’article déplore l’écart entre les discours politiques pompeux et la réalité des crises sociales et économiques qui perdurent. À travers une écriture mordante et une série de sarcasmes, Pierre Bénard expose le décalage entre les paroles et les actes, mettant en lumière l’absurdité de la politique et de la diplomatie de l’époque.

Cette critique acerbe et satirique reflète bien le style caractéristique du Canard Enchaîné, journal français réputé pour son humour caustique et son regard sans concession sur la classe politique et les événements de son temps.

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Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

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Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

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Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

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Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
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