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N° 1353 du Canard Enchaîné – 28 Août 1946

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L’article « LA FRANCE est championne de marche » de Pierre Bénard, publié dans Le Canard Enchaîné le 28 août 1946, utilise le thème de la marche pour critiquer la politique et la société française de l’après-guerre. Bénard commence par un clin d’œil à un championnat de marche organisé par le journal Libération, pour ensuite dévier vers une critique acerbe des promesses politiques et de la situation nationale.

Bénard souligne que la marche est une activité profondément ancrée dans la culture française, utilisant ce sport comme une métaphore pour décrire comment les Français ont été entraînés à suivre les promesses non tenues des politiciens. Il énumère les promesses faites pendant et après la guerre, telles que la restitution des biens pris par les Allemands, la poursuite des traîtres de haut rang, et une justice rapide et implacable. Chacune de ces promesses se termine par « Nous avons marché », illustrant comment la population a été dupée à plusieurs reprises.

La répétition de cette phrase, « Nous avons marché », accentue le sentiment de désillusion et de frustration face aux discours politiques et aux attentes non satisfaites. Bénard montre que malgré les promesses de réductions des prix, de fournitures de charbon, de vin, de beurre, et d’autres produits de première nécessité, rien n’a vraiment changé pour le citoyen ordinaire. Les promesses électorales se suivent et se ressemblent, et les gens continuent à « marcher », à espérer, sans voir de réels changements.

Le texte se termine par une comparaison historique, rappelant que Napoléon gagnait ses batailles grâce aux marches forcées de ses soldats, tandis que les dirigeants actuels profitent d’une vie calme et honorée, sachant que la population continuera à suivre leurs promesses vides.

Bénard utilise un ton ironique et mordant pour dénoncer la manipulation et l’exploitation des citoyens par les politiciens. À travers cette métaphore de la marche, il critique l’inaction et l’incapacité des dirigeants à tenir leurs promesses, tout en soulignant la résilience et la patience des Français, souvent abusés mais toujours prêts à continuer leur marche.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Canard au naturel
Canard en chemise

Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
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Canard laqué

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
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