N° 1522 du Canard Enchaîné – 21 Décembre 1949

Name: N° 1522 du Canard Enchaîné - 21 Décembre 1949 | Couac !
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N° 1522 du Canard Enchaîné – 21 Décembre 1949

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La Noix d’honneur du « Canard »

Dans quelques jours, l’anno santo commence à Rome. À Moscou elle bat déjà son plein.
Les hosannas du monde communiste répondent à ceux du monde catholique, de sorte qu’en cette fin du demi-siècle, la moitié de l’humanité est prosternée, la face contre terre.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Canard au naturel

Sans accompagnement laissant s’exprimer tout son fumet originel

Canard en chemise

Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
Visualiser les illustrations en cliquant sur le nom des auteurs

Laurent LOLMEDE

Fabrice ERRE

Lucien LAFORGE – L’oie

Lucien LAFORGE – L’idiot

Canard laqué

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.

Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.

Suite des commentaires

Dominus vobiscum...
Oyez comment dans le Pélerin... pardon, dans l'Humanité-Dimanche, M. Gaston Monmousseau nous parle de son bon Dieu :
"...De là à parler aisément de Joseph Staline, j'ai conscience que le sujet me dépasse, qu'il est hors de ma mesure, et que pourtant il me faut en parler..."
"Or il est difficile d'en parler sans passion, la passion risque toujours, en de tels cas, de s'exprimer en termes qui peuvent passer pour de la flagornerie et Staline a horreur de la flagornerie, ce qui est le propre des hommes réellement supérieurs..."
(A noter que tout ce numéro de "l'Humanité-Dimanche" est un monument de flagornerie. Si Staline n'aime pas ça, il est servi.)
M. Monmousseau poursuit :
"Et tout cela se cache sous les apparences d'un homme ordinaire..."
"C'est déconcertant que Staline ait l'apparence d'un homme ordinaire, mais c'est ainsi..."
Voilà... c'est tout.
M. Monmousseau voudra bien accepter la noix d'honneur du Canard, qu'il a bien mérité cette semaine.