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N° 1305 du Canard Enchaîné – 26 Septembre 1945

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L’article Vacances du cousin d’Amérique de Pierre Bénard, publié dans Le Canard Enchaîné le 26 septembre 1945, est une critique douce-amère de la réaction de René Clair à son retour en France après cinq ans d’exil aux États-Unis. Clair, réalisateur de renom, exprime sa déception face à l’état de la France post-occupation, soulignant la soumission des Français aux règlements de Vichy et leur manque de fronde.

Bénard, tout en reconnaissant la justesse de certaines observations de Clair, souligne les difficultés vécues par les Français durant l’occupation allemande. Il rappelle les pénuries alimentaires, les longues files d’attente et les efforts constants pour survivre, contrastant avec le confort relatif de la vie à Hollywood. Le journaliste critique également la vision simpliste de Clair, qui semble avoir ignoré la complexité de la situation en France pendant ces années sombres.

La réponse de Bénard met en lumière le fossé entre ceux qui ont vécu l’occupation et ceux qui l’ont observée de loin. Il pointe l’incompréhension et l’arrogance implicite de Clair, qualifiant de « petit gâté » ce dernier pour son manque de perspective sur les épreuves subies par ses compatriotes. Bénard n’excuse pas les erreurs commises en France, mais il contextualise ces actions dans un cadre de survie face à l’oppresseur nazi.

L’article se termine sur une note d’espoir et d’attente. Bénard invite Clair à revenir en France quand la situation se sera améliorée, espérant un futur où la liberté et la prospérité seront rétablies. Cette conclusion, teintée de résilience, montre le désir des Français de reconstruire leur pays et de retrouver leur dignité après la guerre.

En somme, Bénard offre une défense empathique des Français tout en invitant à une compréhension plus nuancée des réalités vécues sous l’occupation, contrastant les perceptions de ceux qui ont vécu la guerre sur le front intérieur et ceux qui l’ont regardée de loin.

Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix

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Canard au naturel
Canard en chemise

Chaque numéro ou journal anniversaire, peut être inséré dans une pochette cadeau au choix, d’un très beau papier pur coton, comportant une illustration originale spécialement réalisée pour COUAC ! par Fabrice Erre ou Laurent Lolmede, ou pour les premiers lecteurs du Canard Enchainé par Lucien Laforge.

Cette pochette cadeau assure aussi une conservation optimale du journal : un papier au PH neutre limitant la dégradation des vieux journaux sur la durée.

Décliné en 4 pochettes originales (5€)
Pochette offerte pour toutes éditions d’un prix supérieur à 59€
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Canard laqué

Enchâssé entre deux feuilles d’acrylique (plexiglass extrudé*) il s’exposera aux regards sous son plus beau jour.

Les propriétés anti-UV de ce plexiglass de 2 mm lui assureront une conservation optimale limitant le jaunissement.

Le maintien entre les deux plaques, avec 8 petites pinces nickelées, supprime la vue des plis ainsi que leurs effets indésirables. Les marges autour du journal sont de 2 cm et sont ajustées au format de l’édition, qui a varié au fil des décennies.

*Transparence, légèreté, résistance aux chocs et aux UV

Cette présentation est déclinée en 2 options :

Plexi transparent (30€) servant de fond, plus discret mais élégant il permet aussi la vision de la dernière page du journal.
Plexi noir (35€) servant de fond, il met en valeur la teinte et le format du journal, s’harmonisant parfaitement avec les encres noires de la page.