Henri ROCHON, fut compagnon de Pierre Bénard dans sa lutte clandestine pendant la guerre.
Pierre Bénard le fit entrer au Canard à la libération, alors que son demi-frère Jean Rochon, lui-même ancien collaborateur occasionnel du Canard, mourut en avril 1945, après qu’il fut déporté et torturé par la Gestapo. Bénard lui rend hommage dans l’édition du 15 août 1945.
Henri Rochon quitta le Canard Enchaîné avec Yves Grosrichard, en 1953 mais poursuivi sa collaboration, engagée aussi depuis la libération, avec France-Soir.