N° 79 du Canard Enchaîné – 2 Janvier 1918
N° 79 du Canard Enchaîné – 2 Janvier 1918
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Première manchette du Canard (avant les célèbres illustrées par Guilac à partir de 1925), ici :
Des manchettes ? Oui… Mais rien n’est plus chic qu’une manchette blanche
Le lion, par Tristan Bernard
Le grand humoriste était un ami du « Canard » qui le lui rendait bien. A plusieurs reprises, il publia des « papiers » dans le journal de Maurice Maréchal, dont ce charmant conte « Le lion »
Un numéro riche : vœux ironiques de « Vive la Russie libérée », conte satirique (Conte du Canard), rubrique Les livres… Le journal affiche sa vitalité en multipliant les formes, du canular politique aux pastiches littéraires. Début d’année, mais même irrévérence.
Peut-être bien, dessin de André Foy – La petite guerre, dessin de Ruysdaël –
Couac ! propose ses canards de 3 façons au choix
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“Vive la Russie libérée” – Conte du Canard – “Les livres”
Le premier numéro de 1918 s’ouvre sur un cri ironique : « Vive la Russie libérée », écho ambigu à la révolution russe, saluée autant qu’inquiétante. Dans ce même numéro, le Canard propose un « Conte du Canard » — parabole satirique qui détourne les formes populaires pour commenter l’actualité — et une chronique littéraire, « Les livres », où les nouveautés éditoriales passent à la moulinette humoristique. Tout l’esprit du journal s’y retrouve : politique internationale, satire culturelle et comédie sociale. Derrière la variété des rubriques, un fil rouge demeure : ridiculiser la gravité pour la rendre supportable.