N° 932 du Canard Enchaîné – 9 Mai 1934
N° 932 du Canard Enchaîné – 9 Mai 1934
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Dourmergue enterre mieux, les obsèques de l’affaire Stavisky – article de Pierre Bénard – Il est temps pour M. Dourmergue de songer au canal de Suez – article de Jules Rivet – M. Joseph Kessel ou le staviskysme décoratif – article de Jules Rivet –
Quelques opinions du « Marquis », par Jean Galtier-Boissière – Dans cet article, nous rencontrons Jean-Baptiste Gloriette, surnommé « le marquis », un personnage haut en couleur et plein d’anecdotes. Il incarne un certain esprit d’élégance et de désinvolture, naviguant avec aisance entre les mondanités et les situations cocasses. Gloriette est présenté comme un homme du grand monde, fréquentant les cercles mondains et les soirées distinguées. Son personnage est teinté d’ironie et de légèreté, se moquant des conventions sociales et des faux-semblants.L’anecdote du poste de garde abandonné révèle l’ingéniosité et le charme de Gloriette, qui parvient à retourner une situation délicate en sa faveur grâce à son esprit vif et son bagout. Sa conversation avec un ami aborde des sujets variés, allant de la politique à l’incident dans le métro, avec une touche d’humour et de perspicacité. Gloriette exprime des opinions tranchées sur différents sujets, tout en cultivant une certaine désinvolture et une réserve aristocratique.Enfin, sa décision de se retirer dans ses terres en cas de révolution démontre un mélange de pragmatisme et d’attachement à ses racines, soulignant ainsi sa personnalité complexe et nuancée. En somme, Gloriette apparaît comme un personnage haut en couleur, oscillant entre l’élégance du grand monde et la désinvolture de l’homme du monde, tout en dépeignant avec humour et ironie les travers de la société de son époque.
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